Quand les souvenirs des violences sexuelles remontent, on peut sentir en soi tout un tas d’émotions : de la colère, de la tristesse, de l’amertume, de la peur.
Pour accompagner ses souvenirs traumatiques, on peut entamer un chemin thérapeutique et avec un.e professionnel.le formé.e en psychotraumatologie ou victimologie réussir à ne plus revivre les souvenirs traumatiques comme si on y était ; faire en sorte qu’ils s’inscrivent dans notre biographie, notre chemin de vie mais sans plus en souffrir.
Au-delà du chemin thérapeutique, il existe aussi plusieurs techniques de libération des émotions qu’il est possible de mettre en oeuvre soi-même, dans les instants où on sent en soi de la difficulté à avancer, comme bloqué.e par la peur ou toute autre émotion.
Deux techniques ont particulièrement retenu notre attention.
Pourquoi ? D’abord parce que ce sont deux techniques douces de libération des émotions, ensuite parce qu’il est possible de les mettre en oeuvre à tout moment où on se sent submergé.e, à tout âge et sans l’aide de personne et, enfin, parce qu’elles sont non intrusives et non agressives.
La première méthode de libération douce des émotions est la méthode TIPI.
La seconde méthode de libération douce des émotions, notamment à destination des enfants, est celle que vient tout juste de créer Noémie de Saint-Sernin, la méthode TELE.