Peut-on réellement oublier les violences sexuelles qu’on a vécues ?
Peut-on réellement effacer ces images de notre mémoire ?
Pas sûr. Cependant le message est là. L’enjeu est de ne pas sombrer.
Car la principale conséquence des violences sexuelles que l’on subit est l’envie d’en finir, d’arrêter cette vie.
Alors, quoi dire ? Et bien la vérité aussi : que c’est un parcours, mais qu’on peut retrouver le sourire un jour.
Merci à LERB et à toutes celles et toutes ceux qui ont contribué de près ou de loin à ce projet de créer un titre qui résonne dans nos oreilles, nous soutienne, nous interpelle, qu’on peut échanger, envoyer, partager et écouter et réécouter.
L’enfant blessé retrouvera le sourire un jour, ce n’est pas la fin, ce n’est que le début du parcours.